Une mouette cherchant la paresse,
Se pose tout bonnement sur une falaise,
Accompagné de quelques amis,
Ils festoyèrent tous de mie...
Désaltérés, ils se laissèrent envoler,
Par ce doux vent d'automne,
Qui les amenèrent en des contées monotomes,
Où le soleil ne se lève que pour s'amuser.
Mais quelle jouissante paresse que cette vie,
Faite de festins et de mouetesses en folie,
Dulcinées volante,
Vie errante.
Ils doivent bien s'ennuyer ces pauvres oiseaux,
A ne faire que voler et à non travailler,
La chasse pour eux n'est qu'un fléau,
De la paresse. Il est dur désormais de décoller,
Pour ces batifoleurs de l'air,
Rien ne les espère.
Braack